Votre préférence a été mise à jour pour cette session. Pour modifier définitivement les paramètres de votre compte, allez à
À titre de rappel, vous pouvez mettre à jour votre pays ou votre langue de préférence à tout moment dans
> beauty2 heart-circle sports-fitness food-nutrition herbs-supplements pageview
Cliquez pour consulter notre déclaration d'accessibilité
Appli iHerb
checkoutarrow
CI

16 conseils pour renforcer naturellement le système cardiovasculaire

82,785 Vues

anchor-icon Table des matières dropdown-icon
anchor-icon Table des matières dropdown-icon

Les maladies cardiaques sont l’une des principales causes de décès aux États-Unis, en Europe et en Asie. Malheureusement, de plus en plus de pays adoptent le style de vie occidental au détriment de leur régime alimentaire traditionnel, et les maladies cardiaques continuent de progresser. Rien qu’aux États-Unis, les maladies cardiovasculaires tuent près de 1 million de personnes par an. L’hypertension est l’un des principaux facteurs de risque de maladie cardiaque, sur les 7600 millions de personnes dans le monde, plus d’un milliard de personnes dans le monde en souffrent.

Les douleurs de poitrine sont le principal motif de visite aux urgences hospitalières. À la fin de mes études de médecine, on me demandait souvent pourquoi j’avais choisi les soins primaires, et plus spécifiquement la médecine familiale. La raison principale en est mon intérêt pour la médecine préventive. Je répondais toujours : « je préfère aider les patients à prévenir une crise cardiaque que d’essayer de les soigner après ». Je suis certain d’avoir pris la bonne décision.

Pour prévenir une maladie cardiaque, le plus important est de respecter les trois règles suivantes : suivre un régime alimentaire bon pour la santé cardiaque, ne pas fumer, et faire régulièrement de l’exercice. Ces trois principes sont plus importants que n’importe quel médicament jamais fabriqué.

Facteurs de risque de maladie cardiaque

  • L’hypertension – force le cœur à fournir plus d’efforts qu’il n’en devrait
  • Le tabagisme – endommage les vaisseaux sanguins et favorise l’obstruction des artères
  • Le diabète – oxyde les vaisseaux sanguins
  • L’obésité – fait peser un stress supplémentaire sur le cœur
  • Taux élevé d’homocystéine – oxyde les vaisseaux sanguins
  • Taux élevé de protéine C-réactive, un marqueur d’inflammation (en savoir plus sur l’inflammation)
  • Des antécédents familiaux de maladie cardiaque   – ce risque peut être réduit par un style de vie sain
  • Un taux élevé de cholestérol – contribue à l’obstruction des artères
  • Un taux élevé de cholestérol LDL (mauvais) – contribue à l’obstruction des artères
  • Un taux élevé de triglycérides – contribue à l’obstruction des artères
  • Un taux élevé de Lp(a) dans le sang – facteur de risque génétique
  • Un régime alimentaire pauvre en fruits et légumes – manque d’antioxydants nécessaires à la protection du cœur
  • Un régime alimentaire riche en produits d’origine animale – les hormones et les produits chimiques contenus dans les aliments d’origine animale augmentent le risque de maladie cardiaque
  • L’apnée du sommeil ou le manque de sommeil – sources de stress pour le cœur
  • Le stress chronique – qui élève le taux de cortisol et favorise l’apparition de maladies cardiaques et le durcissement des artères
  • La dépression/l’angoisse – qui élève le taux de cortisol et favorise l’apparition de maladies cardiaques
  • Les conflits non résolus – élèvent le taux de cortisol et favorisent l’apparition de maladies cardiaques
  • Le sentiment de culpabilité  – qui élève le taux de cortisol et favorise l’apparition de maladies cardiaques
  • Signe de Frank (pli du lobe de l’oreille) – facteur de risque génétique
  • Calvitie masculine –  facteur de risque génétique

Plus une personne possède de facteurs de risque, plus celui-ci sera élevé. La présence de quelques facteurs de risque ne garantit pas qu’une personne développera une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. C’est pourquoi il est important de diminuer autant que possible les facteurs de risque afin de réduire la probabilité d’une maladie cardiaque, d’une crise, d’un AVC et d’un décès.

Médicaments pouvant diminuer les facteurs de risque

La médecine moderne possède quelques outils efficaces pour réduire les facteurs de risque. Chez les personnes à risque, la médecine peut jouer un rôle primordial, en particulier lorsque le régime alimentaire, le style de vie et les compléments se révèlent insuffisants. Malheureusement, la prise quotidienne de médicaments est la seule mesure vers laquelle s’engagent la plupart des gens. Il s’agit d’une stratégie dangereuse. Les médecins utilisent des médicaments pour diminuer l’hypertension et le taux de cholestérol afin d’essayer de limiter le risque, mais un style de vie plus sain devrait être considéré.

Aliments bons pour le cœur

L’une des manières les plus importantes de prévenir les maladies cardiaques et de diminuer l’inflammation dans les artères et le cœur est de choisir les bons aliments à consommer. Les bénéfices d’un régime alimentaire méditerranéen sur la santé cardiaque ont été amplement prouvés par de nombreuses études. Une étude parue en 2013 dans le New England Journal of Medicine concluait par exemple : chez les personnes présentant un risque cardiovasculaire élevé, un régime alimentaire méditerranéen complément d’huile d’olive extra-vierge ou de noix diminue la probabilité des accidents cardiovasculaires graves.

Un régime alimentaire riche en fruits, légumes et fèves est essentiel, mais de nombreux autres aliments peuvent contribuer à une bonne santé cardiaque :

  • Les noix – les noix du Brésil, les pignons de pin, les amandes, les noix de cajou et les noix, non salées. Les noix sont riches en acide linoléique, un acide gras oméga-6 anti-inflammatoire sain et unique.
  • Les graines – les graines de citrouille, de chia et de tournesol, non salées
  • Les fruits – fruits frais bio. 4 portions par jour, au minimum
  • Les lignines diététiques, que l’on retrouve dans les graines de linle thé vert et les fraises
  • Les légumes verts feuillus, comme le chou vert, le chou frisé et les épinards. 6 portions par jour
  • Les dérivés du soja – le tofu bio, l’edamame, le miso, le tempeh
  • Le poisson – manger du poisson sauvage (et non d’élevage), mais pas plus d’une fois par semaine en raison des risques de contamination au mercure (poissons contenant peu de mercure : truite, corégone, saumon, anchois, etc.).
  • La viande rouge et la volaille – ne consommer que des viandes garanties sans hormones et nourries à l’herbe
  • L’huile d’olive extra riche – à teneur élevée en acide oléique, un acide gras oméga-9. Ne cuisinez qu’à l’huile d’olive et à feu doux ou moyen.
  • L’huile de coco – idéale pour cuisiner à grand feu et plus saine que l’huile de colza
  • L’huile de sésame allégée – acceptable pour cuisiner à grand feu, et possédant de nombreux bénéfices pour la santé
  • Le thé vert – bon pour le cœur.
  • L’eau purifiée – évitez les boissons sucrées

Compléments pour la bonne santé cardiaque

La prise de compléments fait partie de l’approche que de nombreuses personnes adoptent pour améliorer leur santé cardiovasculaire.

Vitamine C

La vitamine C, ou acide ascorbique, est une vitamine essentielle qui joue un rôle important dans la production de collagène, le principal composant des artères. D’après une étude parue en 2009 dans The American Journal of Clinical Nutrition, et portant sur la population américaine, plus de 7 % des personnes âgées de plus de 6 ans présentaient une carence en vitamine C dans leurs analyses de sang. Plus de la moitié des personnes étudiées en consommaient une trop faible quantité dans le cadre de leur régime alimentaire. Les niveaux de vitamine C sont aussi plus faibles chez les fumeurs. Les études montrent qu’une alimentation riche en vitamine C est bonne pour le cœur. Une étude parue en 2017 dans le Journal of Nutritional Biochemistry démontrait que baies de cynorrhodon (rose hips), un aliment riche en vitamine C, favorisait la prévention de l’artériosclérose, précurseur de maladies cardiaques.

Vitamine D

Une carence en Vitamine D est un facteur de risque de maladie cardiaque, selon une étude publiée en 2013 dans Nutrients. Une étude de l’université de Harvard révélait que les personnes présentant un niveau élevé de vitamine D dans le sang avaient 80 % moins de risque de crise cardiaque que les personnes dont le niveau de vitamine D était le plus faible. Une étude allemande montrait que les personnes avec un faible taux de vitamine D dans le sang avaient cinq fois plus de chances de mourir d’une crise cardiaque que les personnes avec un taux élevé de vitamine D dans le sang.   

De plus, une étude de 2017 concluait que : « … les taux de vitamine D dans le sang étaient très inférieurs chez les patients ayant souffert d’une crise cardiaque, en particulier en Amérique et en Asie, et qu’un taux suffisant de vitamine D dans le sang pouvait prévenir l’apparition de maladies cardiaques. » Dose suggérée : Vitamine D 2000 à 5000 UI quotidiennement, toute la vie.

Huile de poisson riche en oméga-3

Les acides gras essentiels riches en oméga-3 sont principalement composés de l’acide éicosapentaenoique (EPA) et de l’acide docosahexaenoique (DHA). Une étude publiée en 2014 dans le Nutrition Journal révélait que la majorité des Américains ne consommait pas suffisamment d’huiles essentielles riches en oméga-3. Celles-ci se retrouvent dans différents aliments, notamment le poisson (les plus riches étant maquereau, morue et saumon), les noixles graines de chiade linde chanvre et le natto.

Une étude parue en 2017 dans Future Science indiquait que les huiles riches en oméga-3 pouvaient réduire les inflammations entraînant les maladies cardiaques. Une étude de 2017 publiée dans Atherosclerosis montrait que des taux élevés d’oméga-3 dans le sang pouvaient réduire de 30 % le risque de décès par maladie cardiaque.

Les laboratoires fabriquent et vendent aux patients une huile de poisson de qualité pharmaceutique, qui réduit le niveau de triglycérides de 50 %. Cependant, des ordonnances sans médicaments peuvent atteindre les mêmes résultats pour un coût bien moindre. Dose suggérée : Huile de poisson riche en oméga-3 1200 mg ou 3600 mg par jour.

Huile de krill

L’huile de krill est consommée comme alternative aux huiles de poisson riches en oméga-3. L’huile de krill peut aider à réduire les facteurs de risque de maladie cardiaque. L’huile de krill peut diminuer les taux de triglycérides, un type de lipide qui circule dans le sang.

L’huile de krill diminue aussi le taux de cholestérol LDL (mauvais), qui est l’un des principaux facteurs de maladie cardiaque. Une étude publiée en 2017 dans Nutrition Reviews et portant sur 662 patients révélait que les personnes consommant de l’huile de krill pouvaient réduire leur taux de cholestérol LDL. D’autres études sont parvenues à des conclusions similaires. Dose suggérée : Huile de krill 500 mg à 2000 mg par jour (alternative à l’huile de poisson)

Coenzyme Q10

La coenzyme Q10 (CoQ10) joue un rôle important dans la santé des mitochondries, qui sont la « centrale électrique » de nos cellules. Comme le cœur est l’organe le plus actif, il produit et nécessite le plus de CoQ10 pour répondre aux besoins du métabolisme. Cependant, les personnes souffrant d’une maladie cardiaque ont besoin de niveaux plus importants de CoQ10.

Une étude de 2017 analysant 14 autres études révélait les bénéfices importants de la coenzyme CoQ10 : les résultats montraient que les personnes prenant du CoQ10 avaient 31 % moins de risque de mourir des complications d’une crise cardiaque.  

Une étude de 2014 publiée dans Medical Science Monitor montrait que la prise de 50 mg de Coenzyme Q10 deux fois par jour pouvait être bénéfique pour réduire les douleurs musculaires causées par les statines fournies sur ordonnance. D’autres études présentent des résultats contradictoires. La coenzyme Q10 peut aussi réduire les taux de cholestérol LDL (mauvais), de triglycérides et de LP(a) dans le sang. Dose suggérée :  CoQ10 100 mg trois fois par jour ou 300 mg une fois par jour.

Levure de riz rouge

Une étude de 2008 révélait que la levure de riz rouge, associée à un changement de style de vie et des compléments d’huile de poisson riche en oméga-3, pouvait réduire le taux de cholestérol LDL (mauvais) jusqu’à 42 %, offrant un résultat similaire à des médicaments comme l’atorvastatine (Lipitor).

Une autre étude chinoise parue en 2008 dans l’American Journal of Cardiology portait sur près de 5000 personnes prenant de la levure de riz rouge pendant 5 ans. Les chercheurs concluaient qu’une thérapie à long terme avec de la levure de riz rouge réduisait fortement la fréquence des crises cardiaques, prévenait le risque de nouvelles crises et diminuait de 33 % le risque de décès. Les chercheurs déclaraient que la levure de riz rouge était de consommation sûre et bien tolérée par l’organisme.

Une étude de 2015 présentait des résultats similaires, poussant les chercheurs à conclure que « …la levure de riz rouge pouvait être une option de traitement sûre et efficace pour réduire le risque de dyslipidémie (cholestérol élevé) et de maladie cardiovasculaire chez les patients intolérants à la statine ». En d’autres termes, ils concluaient que la levure de riz rouge était une bonne alternative chez les patients ne pouvant pas prendre de statine pour réduire leur cholestérol.

Spiruline

La spiruline, un antioxydant puissant, est une nouvelle arme pour réduire le taux de cholestérol. Une étude réalisée en 2008 sur la population mexicaine montrait que la spiruline pouvait diminuer le taux de cholestérol et la tension chez les patients.

Une étude plus récente datant de 2014 révélait que la prise quotidienne d’un gramme de spiruline pouvait diminuer le cholestérol total de 16 % en l’espace de 12 semaines. Elle diminue aussi les taux de triglycérides et de cholestérol LDL (mauvais). Une étude de 2015 confirmait les bénéfices de la spiruline sur la diminution du cholestérol. La prise de spiruline en complément d’un médicament sur ordonnance est parfaitement acceptable.

La spiruline peut aussi être prise en complément, et de nombreux fournisseurs la vendent sous forme de gélule ou de poudre. La formule en poudre est mieux assimilée lorsqu’elle est ajoutée aux aliments. Si vous optez pour la spiruline en poudre, je vous recommande de l’ajouter à un smoothie.

Autres compléments bons pour le cœur

  • Le chélate de magnésium – facilite le relâchement du cœur et des artères
  • La L-carnitine – optimise la fonction mitochondriale, importante chez les personnes souffrant de cardiopathie congestive
  • La L-Arginine – un acide aminé utile contre l’angine de poitrine et les cardiopathies congestives
  • L’acide folique ou méthyl-folate, aide à réduire l’homocystéine, facteur de risque de maladie cardiaque
  • La D-ribose – efficace en théorie chez les personnes souffrant de défaillance cardiaque
  • La niacine –  contribue à augmenter le taux de cholestérol HDL (bon). Les rougeurs du visage sont un effet secondaire courant.
  • La vitamine B12 ou methylcobalamine – aide à diminuer l’homocystéine, facteur de risque de maladie cardiaque
  • Les huiles essentielles – la camomille, le thé des bois, la menthe poivrée et la lavande. À diffuser dans l’air ou à ingérer. Aident à réduire le stress, qui peut avoir un effet négatif sur le cœur.

Adoptez un style de vie bon pour le cœur

Les maladies cardiaques sont l’une des principales causes de décès dans le monde entier. L’arrêt du tabagisme, un régime alimentaire sain riche en fruits et légumes et l’exercice quotidien peuvent éviter une cardiopathie fatale chez les personnes adoptant un style de vie plus sain. Un bon objectif pour la plupart des gens serait de faire 10 000 pas par jour. Une bonne nuit de sommeil joue aussi un rôle important dans la prévention des maladies cardiaques. Les gens optent fréquemment pour des vitamines et des compléments pour mieux contrôler les facteurs de risque et améliorer les résultats, en particulier lorsque les changements de régime alimentaire et de style de vie ne sont pas suffisants.

Références :

  1. Primary Prevention of Cardiovascular Disease with a Mediterranean Diet Ramón Estruch, M.D., Ph.D., Emilio Ros, M.D., Ph.D., et. Al N Engl J Med 2013; 368:1279-1290April 4, 2013DOI: 10.1056/NEJMoa1200303
  2. Journal of The American College of Nutrition 2017, Vol 36. Mp 6. 434-441  Association between Urinary Phytoestrogens and CRP in the Continuous National Health and Nutrition Examination Survey
  3. Am J Clin Nutr. 2009 Nov;90(5):1252-63. doi: 10.3945/ajcn.2008.27016. Epub 2009 Aug 12.
  4. Heart Advis. 2015 Oct;18(10):10.
  5. J Nutr Biochem. 2017 Jun;44:52-59. doi: 10.1016/j.jnutbio.2017.02.017. Epub 2017 Mar 21.
  6. Kienreich K, Tomaschitz A, Verheyen N, et al. Vitamin D and Cardiovascular Disease. Nutrients. 2013;5(8):3005-3021. doi:10.3390/nu5083005.
  7. Papanikolaou Y, Brooks J, Reider C, Fulgoni VL. U.S. adults are not meeting recommended levels for fish and omega-3 fatty acid intake: results of an analysis using observational data from NHANES 2003–2008. Nutrition Journal. 2014;13:31. doi:10.1186/1475-2891-13-31.
  8. Bäck M. Omega-3 fatty acids in atherosclerosis and coronary artery disease. Future Science OA. 2017;3(4):FSO236. doi:10.4155/fsoa-2017-0067.
  9. Atherosclerosis. 2017 Jul;262:51-54. doi: 10.1016/j.atherosclerosis.2017.05.007. Epub 2017 May 6.
  10. Sorin Ursoniu, Amirhossein Sahebkar, et. al.  for the Lipid and Blood Pressure Meta-analysis Collaboration Group; Lipid-modifying effects of krill oil in humans: systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials, Nutrition Reviews, Volume 75, Issue 5, 1 May 2017, Pages 361–373, https://doi.org/10.1093/nutrit/nuw063
  11. Lei L, Liu Y. Efficacy of coenzyme Q10 in patients with cardiac failure: a meta-analysis of clinical trials. BMC Cardiovascular Disorders. 2017;17:196. doi:10.1186/s12872-017-0628-9.
  12. Skarlovnik A, Janić M, Lunder M, Turk M, Šabovič M. Coenzyme Q10 Supplementation Decreases Statin-Related Mild-to-Moderate Muscle Symptoms: A Randomized Clinical Study. Medical Science Monitor : International Medical Journal of Experimental and Clinical Research. 2014;20:2183-2188. doi:10.12659/MSM.890777.
  13. Suksomboon, N., Poolsup, N. and Juanak, N. (2015), Effects of coenzyme Q supplementation on metabolic profile in diabetes: a systematic review and meta-analysis. J Clin Pharm Ther, 40: 413–418. doi:10.1111/jcpt.12280
  14. Amirhossein Sahebkar, Luis E. Simental-Mendía, Claudia Stefanutti, Matteo Pirro, Supplementation with coenzyme Q10 reduces plasma lipoprotein(a) concentrations but not other lipid indices: A systematic review and meta-analysis, Pharmacological Research, 2016, 105, 198
  15. Simvastatin vs Therapeutic Lifestyle Changes and Supplements: Randomized Primary Prevention Trial Becker, David J. et al.  Mayo Clinic Proceedings , Volume 83 , Issue 7 , 758 - 764
  16. Lipids Health Dis. 2007 Nov 26;6:33.
  17. Sci Food Agric. 2014 Feb;94(3):432-7. doi: 10.1002/jsfa.6261. Epub 2013 Jul 10.
  18. Biomed Res Int. 2015;2015:486120. doi: 10.1155/2015/486120. Epub 2015 Jan 22.

​CLAUSE DE NON-RESPONSABILITÉ:Ce CENTRE DU BIEN-ÊTRE n'a pas pour but de fournir un diagnostic...​ En savoir plus